en honneur du nouvel emploi de l'homme exponentiel.

Bien, il est possible pour un groupe "underground" soit "populaire."

(Now, I don't mean to go off on a rant here...)

Un underground populaire n'est pas une contradiction; ça dépend de les définitions que underground et populaire prennent. Et oui... le "cult following" Je pense à des groupes du style Métal (même des gros noms comme Dream Theater ou Damage Plan) qui sont tournées extrèmement rarement à la radio, MTV/Much, les publications non-spécialisés (exemple de pub spécialisé serait BWBK), qui sont capable de vendre plusieurs disques et vendre leurs spectacles sans problème.

Bon, passe au "star system." Il n'y a pas vraiment un au Canada; au moins pas un qui toucherait le "grand" publique...

Il y a une longue histoire de groupes qui sont dû aller aux États-Unis pour trouver la popularité (i.e. The Guess Who, Joni Mitchel, Gordon Lightfoot, Neil Young, Robbie Robertson ave The Band, etc. etc. etc...) Dans ce temps, entre CanCon, qui dit que les stations de radio devaient jouer x % de contenu d'artistes Canadiens dans leur programmation (nécessaire dans le temps, débatable si c'est encore nécessaire. C'est aussi pourquoi que Nickelback et Avril sont tournés ad nauseum à la radio.)

En même temps, il y a des artistes qui sont "huge" au Canada, mais n'arrive pas à percer le mainstream en dehors du Canada (The Tragically Hip est un grand example.)

Entre aussi le domination de la télévision Américaine au Canada. Everybody on the planet knows who won American Idol; Canadian Idol winners fade out within a year and are virtually unknown outside of Canada...

Pour ce qui est indépendant, la seule façon qu'ils se feront connaître c'est de jouer en publique sans cesse et que les "Fans" passent le mot. Si ils devienent populaires, c'est plutôt de même. Quand il y a le buzz, c'est là que l'attention plus vaste se poigne.

En même temps, le buzz est mal dirigé. Pense à la scène de Seattle au début des 90. Les gros groupes étaient Nirvana, Alice in Chaines, Soundgarden et Pearl Jam; il y avait plusieurs groupes qui n'ont pas reçu la même "exposure" pour des raisons divers. (Il y a un documentaire intitulé "Hype" qui parle de Seattle et le "Grunge" dans ce temps là - highly recommended viewing for anyone who wants to see a music scene blown out of proportion.) What became mainstream was the new norm (Also, much of Nevermind, Dirt, Superunknown, Ten, etc was "radio-friendly"); what was underground stayed there... and everybody was wearing flannel.

Même le terme "Pop" est contradictoire car la définition n'est pas pareille pour tout l'monde. Il y a le style de musique qu'on definit comme Pop, Pop Rock, etc., et il y a le terme Pop comme populaire (everybody knows about it and/or does/does not like it.) Et, en générale, la radio va jouer ce qu'il y est de Pop (style ou caractéristique). Prend le groupe Pantera comme exemple. C'est loin d'être Pop comme style, mais c'est quand même populaire car plusieurs gens connaient Pantera. Is it Popular or not? Bien souvent, le monde va dire que la musique "populaire" (selon les définitions du jour) est tournée à la radio/Much/vend beaucoup à HMV/etc., et que le reste est underground/indie. Mais, si un groupe indie est très bien connu, vend ces spectacles et ces disques assez pour gagner une vie, cet groupe peut être aussi populaire. N'oublions-pas aussi que l'indépendant peut franchir le "mainstream" - exemple, Lisa Loeb et sa chanson "Stay" est, je crois, la seule chanteuse indépendante (dans le temps) d'avoir un succès no. 1 sans contrat de disque.

Aussi, plusieurs artistes populaires se décole des maisons de disque pour leur propres maisons de disques indépendants (incluant Frank Zappa - RIP -, Toby Keith, Barenaked Ladies, etc.) Pour les artistes indépendants, avoir un contrat de disque avec une grosse maison n'est plus la meilleure affaire; distribution is readily available (Indie Pool, CD Baby, APCM), there are ways to get your music out there (CBC Radio 3/New Music Canada.ca, Podsafe Music Network, University Radio, CBC/Rad-Can), not to mention the fact that if you release your record through a major label (who own the masters, publishing, etc.) and it is sold through a commercial retailer (HMV, Music World, etc.) the artist will get $2 (with which he has to pay his lawer, manager, booker, etc. and eat). If an artist sells their CD independantly through indie distribution or their own means (e-commerce, etc.) the returns are a lot higher. (Sell a CD at HMV for $20, artist gets $2; artist sells CD at gig for $20, artist gets $20.)

Pour la scène Franco-Ontarienne, il y a un besoin d'infrastructure pour que la musique soit mieux connue. Mais, il faut franchir les baracades; la radio commerciale tourne RAREMENT les artistes indépendants; la radio francophone tourneront peut-être des artistes francophones qui sont mieux connus que d'autres; la radio régionale (tel que Rad-Can) tournent la musique indépendante, mais ça rejoint seulement une petite partie de la population (I listen to the CBC, and they spin indie music more that what would be called "popular" on much of their programming.)

La meilleure façon à répendre le message - jouer devant autant de monde possible, vendre des disques et que les "fans" passent le mot. En même temps, les artistes doivent jouer leur musique en dehors de l'Ontario dans d'autres marchés francophones (ex. Cano, Robert Paquette, Brasse-Camarade, En Bref, Stef Paquette, Véronic Dicare, etc.) pour se bâtir un "following" pour que l'underground (un terme que je n'aime pas vraiment) devient plus "populaire."

"But that's just my opinion, I could be wrong."

Et je m'excuse pour l'orthographe...

Bien, il est possible pour un groupe "underground" soit "populaire."

(Now, I don't mean to go off on a rant here...)

Un underground populaire n'est pas une contradiction; ça dépend de les définitions que underground et populaire prennent. Et oui... le "cult following" Je pense à des groupes du style Métal (même des gros noms comme Dream Theater ou Damage Plan) qui sont tournées extrèmement rarement à la radio, MTV/Much, les publications non-spécialisés (exemple de pub spécialisé serait BWBK), qui sont capable de vendre plusieurs disques et vendre leurs spectacles sans problème.

Bon, il y a des groupes qui sont populaires parmi leur genre, et seulement les fans de ce genre les connais. Mais, ce n'est pas toujours le cas.

Bon, passe au "star system." Il n'y a pas vraiment un au Canada; au moins pas un qui toucherait le "grand" publique...

Il y a une longue histoire de groupes qui sont dû aller aux États-Unis pour trouver la popularité, ou qui sont devenues populaires au Canada après avoir eu un succès sur la radio aux États (i.e. The Guess Who, Joni Mitchel, Gordon Lightfoot, Neil Young, Robbie Robertson ave The Band, etc. etc. etc...) Dans ce temps, entre CanCon, qui dit que les stations de radio devaient jouer x % de contenu d'artistes Canadiens dans leur programmation (nécessaire dans le temps, débatable si c'est encore nécessaire. C'est aussi pourquoi que Nickelback et Avril sont tournés ad nauseum à la radio.)

En même temps, il y a des artistes qui sont "huge" au Canada, mais n'arrive pas à percer le mainstream en dehors du Canada (The Tragically Hip est un grand example.)

Entre aussi le domination de la télévision Américaine au Canada. Everybody on the planet knows who won American Idol; Canadian Idol winners fade out within a year and are virtually unknown outside of Canada...

Pour ce qui est indépendant, la seule façon qu'ils se feront connaître c'est de jouer en publique sans cesse et que les "Fans" passent le mot. Si ils devienent populaires, c'est plutôt de même. Quand il y a le buzz, c'est là que l'attention plus vaste se poigne.

En même temps, le buzz est mal dirigé. Pense à la scène de Seattle au début des 90. Les gros groupes étaient Nirvana, Alice in Chaines, Soundgarden et Pearl Jam; il y avait plusieurs groupes qui n'ont pas reçu la même "exposure" pour des raisons divers. (Il y a un documentaire intitulé "Hype" qui parle de Seattle et le "Grunge" dans ce temps là - highly recommended viewing for anyone who wants to see a music scene blown out of proportion.) What became mainstream was the new norm (Also, much of Nevermind, Dirt, Superunknown, Ten, etc was "radio-friendly"); what was underground stayed there... and everybody was wearing flannel.

Même le terme "Pop" est contradictoire car la définition n'est pas pareille pour tout l'monde. Il y a le style de musique qu'on definit comme Pop, Pop Rock, etc., et il y a le terme Pop comme populaire (everybody knows about it and/or does/does not like it.) Et, en générale, la radio va jouer ce qu'il y est de Pop (style ou caractéristique). Prend le groupe Pantera comme exemple. C'est loin d'être Pop comme style, mais c'est quand même populaire car plusieurs gens connaient Pantera. Is it Popular or not? Bien souvent, le monde va dire que la musique "populaire" (selon les définitions du jour) est tournée à la radio/Much/vend beaucoup à HMV/etc., et que le reste est underground/indie. Mais, si un groupe indie est très bien connu, vend ces spectacles et ces disques assez pour gagner une vie, cet groupe peut être aussi populaire. N'oublions-pas aussi que l'indépendant peut franchir le "mainstream" - exemple, Lisa Loeb et sa chanson "Stay" est, je crois, la seule chanteuse indépendante (dans le temps) d'avoir un succès no. 1 sans contrat de disque.

Aussi, plusieurs artistes populaires se décole des maisons de disque pour leur propres maisons de disques indépendants (incluant Frank Zappa - RIP -, Toby Keith, Barenaked Ladies, etc.) Pour les artistes indépendants, avoir un contrat de disque avec une grosse maison n'est plus la meilleure affaire; distribution is readily available (Indie Pool, CD Baby, APCM), there are ways to get your music out there (CBC Radio 3/New Music Canada.ca, Podsafe Music Network, University Radio, CBC/Rad-Can), not to mention the fact that if you release your record through a major label (who own the masters, publishing, etc.) and it is sold through a commercial retailer (HMV, Music World, etc.) the artist will get $2 (with which he has to pay his lawer, manager, booker, etc. and eat). If an artist sells their CD independantly through indie distribution or their own means (e-commerce, etc.) the returns are a lot higher. (Sell a CD at HMV for $20, artist gets $2; artist sells CD at gig for $20, artist gets $20.)

Pour la scène Franco-Ontarienne, il y a un besoin d'infrastructure pour que la musique soit mieux connue. Mais, il faut franchir les baracades; la radio commerciale tourne RAREMENT les artistes indépendants; la radio francophone tourneront peut-être des artistes francophones qui sont mieux connus que d'autres; la radio régionale (tel que Rad-Can) tournent la musique indépendante, mais ça rejoint seulement une petite partie de la population (I listen to the CBC, and they spin indie music more that what would be called "popular" on much of their programming.)

La meilleure façon à répendre le message - jouer devant autant de monde possible, vendre des disques et que les "fans" passent le mot. En même temps, les artistes doivent jouer leur musique en dehors de l'Ontario dans d'autres marchés francophones (ex. Cano, Robert Paquette, Brasse-Camarade, En Bref, Stef Paquette, Véronic Dicare, etc.) pour se bâtir un "following" pour que l'underground (un terme que je n'aime pas vraiment) devient plus "populaire."

"But that's just my opinion, I could be wrong."

Et je m'excuse pour l'orthographe...

martini_13 a écrit:

Je crois que tu me dis que ta musique préférée est du style "underground" ou indie. Eh bien, si elle serait popularisé, ça ne serait plus "underground" vrai? Alors... contradiction!

god.. never mind.. ive had this discussion way too many times on here.. someone will tell you what you need to hear..

um , pardon, aucun star system? regarde des groupes comme Alexisonfire, Billy Talent, Sum 41, Simple Plan, et plus récemment, Protest the Hero et Metric. Des groupes qui sont propulsés par MuchMusic. La plupart de ces groupes seraient encore des groupes inconnus sans MM.

et au québec, les groupes underground ne sont pas catapultés par M+ sauf si ls ont un bon management. par contre, la scène underground québecoise est mieux connue que la scene underground canadienne. ca ne devrait pas etre surprenant, compte tenu des grosseurs des populations

swiffer a écrit:

um , pardon, aucun star system? regarde des groupes comme Alexisonfire, Billy Talent, Sum 41, Simple Plan, et plus récemment, Protest the Hero et Metric. Des groupes qui sont propulsés par MuchMusic. La plupart de ces groupes seraient encore des groupes inconnus sans MM.

et au québec, les groupes underground ne sont pas catapultés par M+ sauf si ls ont un bon management. par contre, la scène underground québecoise est mieux connue que la scene underground canadienne. ca ne devrait pas etre surprenant, compte tenu des grosseurs des populations

Must have missed the memo...

D'après ceci, je suis d'accord qu'il y a un meilleur "star system" maintenant qu'avant (le Canada produit des artistes qui trouve la popularité en dehors du Canada-ie Avril, Nickelback, Shania, Céline, etc.).

Mais, en même temps on doit regarder l'impact de cette système. Juste par curiosité (à part Sum 41), est-ce que c'est groupes sont connus ailleurs qu'au Canada? (ie. rotation on American Radio and/or MTV?)

Pas pour faire la chicane, c'est juste par curiosité (comme j'ai dit avant, j'écoutes seulement le CBC à radio, et non la radio commerciale, so I don't know what's "hip" these days...)

Il voulait plutôt dire euh... en Ontario français. Mais ça va, continuez votre conversation chaude chaude chaude!

Traditionellement, ici au Canada nous ne reconnaissons pas nos vedettes comme étant "vedette" avant qu'elle ait percé le marché/star-system Américain. Ça s'améliore peu à peu mais voilà la raison pour laquelle on dit que le Canada n'a pas son propre système de vedetteriat. Les Québécois d'ailleurs se fient sur nul autre que leur propre peuple et leur propres ressources pour mesurer le succès de ses artistes. (Je l'ait mal dit, mais j'espère que vous catchez)

N'importe quel genre de «star system» bénéficierait les artistes indie ou underground ou n'importe quels artistes qui en sont exclus à cause du "trickle down effect".

Sire_Denys a écrit:

Traditionellement, ici au Canada nous ne reconnaissons pas nos vedettes comme étant "vedette" avant qu'elle ait percé le marché/star-system Américain. Ça s'améliore peu à peu mais voilà la raison pour laquelle on dit que le Canada n'a pas son propre système de vedetteriat.

C'était un des mes points grosso-modo.

Et, il y a toujours des exceptions; The Tragically Hip est un example d'un groupe qui est devenue très fort au Canada, mais n'a vraiment pas percé le mainstream Américain. (Barenaked Ladies avait la même problème, jusqu'à temps que "One Week" c'est devenue un succès.)

Sire_Denys a écrit:

Les Québécois d'ailleurs se fient sur nul autre que leur propre peuple et leur propres ressources pour mesurer le succès de ses artistes. (Je l'ait mal dit, mais j'espère que vous catchez)

Quel autre province a sa propre compétition "Idol" qui attire autant d'attention?

Le système Québécois marche très bien car les artistes sont capables de se tailler une carrière Francophone qui roulera assez bien.

Pour le francophone en Ontario, il n'y a pas le même montant de resources/infrastructure comme au Québec. Il y a les deux festivals (La Nuit et le FFO), les écoles, les salles communautaires et c'est tout. Les autres places sont les clubs en province (and I never hear of any F-O artists doing club shows), ou faire parti des spectacles à groupes multiples (Varge avec d'autres bands, Konflit avec le spectacle de CBC radio 3, etc.) Si il avait plus de places pour les artistes à jouer sans problème, ils auraient la meilleur chance de se faire connu.

Il y a aussi une manque de radio commercial francophone qui jouent les artistes F-O (chapeau à rad-can pour ceci!).

Au moins il y a des services comme Réseau Ontario et l'APCM pour aider l'artistes à faire des spectacles et vendre des disques (deux affaires très nécessaire pour qu'un artiste puisse gagner son pain...)

Am I starting a debate? No! Just going with what I know.