Les médias d'une minorité peuvent-ils parfois volontairement ou non, contribuer et accélérer le processus d'acculturation et d'assimilation des membres de cette minorité, plutôt que de les soutenir et de les développer comme membres de cette minorité?
Que se passe-t-il lorsque les médias sont tenus par des "Expats" pour des "Expats" à partir d'un bureau-chef désengagé des réalités du terrain? De tels médias peuvent-ils possiblement reconnaître des médias indigènes métissés mieux adaptés à la réalité du terrain? Peut-on donc alors parler de contre-acculturation, contre-assimilation, contre-médias et en bout de ligne de contre-culture?
L'absence de politique en matière de médias de minorité serait partie intégrante de la Politique de l'Oubli de ses minorités soit-disant protégées. Une Politique de Rappel mené par des contre-médias serait alors appropriée en réponse à l'oppression de l'Etat menée par des Expats, ou autres agents de la Tutelle de ses médias.
Foude faure tâtes.