Ceux qui sont abonnés à la liste d'envoie de l'AFO on sûrement lu quelque chose d'étrange. Un courriel raciste et difflamatoire fut envoyé le 12 février dénonçant l'AFO et démontrant plus que jamais les tensions raciales et la division au sein de la communauté franco-ontarienne. C'est difficile de passer à autres choses quand on sais que tellement de personnes se tiraillent au sein de la communauté. Histoire ce sous gouvernementaux.
Je suis plus convaincu que jamais qu'il faut que la communauté s'auto-finance.
Ci-attaché : les deux courriels en question.
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Autrefois, tu t'es appelé Zacharie Ouedraga, aujourd'hui, tu es devenu Eddie
diangana, quelle identité porteras-tu demain ? Pauvre lâche, tu repètes les mêmes
phrases et tes mêmes accusations sans jamais tes incompétences et tes ignorances en
cause, la communauté n'avancera jamais avec ces canards boîteux. Quelle honte !
eddie diangana <congokine@hotmail.com> a écrit :
Messieurs et Mesdames,
C’est pathétique de voir des individus –toujours les mêmes- se battant comme
le diable dans l’eau bénie- parce qu’ils n’ont jamais rien compris ni ce
qu’ils veulent, ce qu’ils peuvent ni des limites que fixe une société libre
et démocratique comme le Canada.
Le vrai révélateur du constat ci-dessus est l’email laconique (mis en
attache) qu’ont envoyé des personnes qui utilisent le sigle illégalement
URMREF du Centre et sans autorisation de l’UPMREF qui en est propriétaire et
qui n’a jamais créé l’Union Régionale Minorités Raciales et Ethnoculturelles
Francophones pour la région du Centre (Toronto) comme l’ont indiqué les
autorités officielles et autorisées de l’Union Provinciale des Minorités
Raciales et Ethnoculturelles Francophones.
L’émail de ces usurpateurs est malheureusement la preuve de personnes
fortement désespérées parce que n’ayant prise sur rien et des individus
incapables de comprendre l’article du règlement administratif de l’UPMREF
sur lequel ils s’appuient pour désorienter et tromper la communauté et salir
la communauté des minorités raciales et ethnoculturelles francophones,
satisfaire leur commanditaire principal l’Assemblée de la Francophonie de
l’Ontario (AFO) –ce qui est leur seul but- en même temps salir l’UPMREF
dont ils ne sont pas membres et envers laquelle ils n’ont aucun droit et qui
n’a aucune obligation envers ces derniers.
La lâcheté suprême est qu’ils se cachent –eux et leurs commanditaires de
l’Assemblée de la Francophonie de l’Ontario- sous des pseudonymes et prête
noms pour mener leurs actions de trouble de la paix , d’atteinte aux
intérêts de la communauté MREF après avoir versé dans des actions
diffamatoires stériles à l’encontre du Président de l’UPMREF qui est
pourtant un homme intègre, visionnaire et respecté de tous même par ses
opposants traditionnels de l’Assemblée de la Francophonie de l’Ontario (AFO)
qui reconnaissent qu’il a toujours visé juste sans démagogie mais dans le
respect de toute la francophonie ontarienne et canadienne.
Il est important qu’en vue de l’Assemblée Générale Annuelle (AGA) de
l’UPMREF qui aura lieu le 17 Mars 2007 à Sudbury , le président de l’UPMREF
saisisse la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) et la police de Sudbury pour
empêcher toute violence et qu’une enquête soit faite et les commanditaires
(AFO) de ce désordre mis à nu devant tout le monde car l’AFO entretient
indirectement le trouble dans la communauté MREF comme le témoigne la
rencontre qu’elle a eue au mois de Février 2007 à Ottawa avec les auteurs
des emails.
La rencontre «AFO – auteurs de ce désordre» dans la communauté MREF a eu
pour but de former et éduquer les auteurs des emails à la désorganisation
des travaux de l’AGA de l’UPMREF . Le véritable but de l’Assemblée de la
Francophonie de l’Ontario (AFO) est de récupérer les maigres financements
gouvernementaux de la communauté MREF en justifiant auprès des gouvernements
que cette communauté est incapable de se gérer et de se prendre en mains.
Bref le néo-colonialisme, l’esclavage et la domination éternelle du blanc
sur le noir et l’ethno.
De grâce, j’espère qu’on entendra plus jamais ces auteurs d’emails
mensongers maintenant qu’ils ont décrèté la fin du mandat du CA de l’UPMREF.
Eddie Diangana,
citoyen congolais canadien libre et dégouté par toujours les mêmes, les gens
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Expéditeur : Mariette Carrier-Fraser
Présidente
Destinataires : Tous nos abonnés de Flash Info
Tous les membres de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario
Conseil d’administration de l’AFO
Date : Le 13 février 2007
Sujet : Utilisation illégale de notre liste d’envoi automatisée
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Vous avez sans doute reçu le 12 février 2007 un courriel électronique
anonyme diffusé par l’entremise de notre liste d’envoi automatisée. Cette
missive peut porter à confusion car on peut croire que ce message a été
rédigé et distribué par l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario.
Cette utilisation illégale de notre liste d’envoi n’a pas été sanctionnée et
est même interdite par le Conseil d’administration de l’AFO.
Soyez assurés que des mesures de sécurité pour sauvegarder cette banque de
données ont été instaurées afin de protéger nos abonnés. Il sera dorénavant
impossible pour une personne autre que le webmestre de l’AFO d’utiliser
cette banque de données.
L’expéditeur du message que vous avez reçu n’est pas un membre de notre
Conseil d’administration, ni un gestionnaire de l’AFO. Cette personne
anonyme a utilisé notre adresse courriel à ses fins pour diffuser sa
réponse, dans des termes inacceptables, à un message diffamatoire émis par
un prénommé Eddie Diangana à l’égard de l’Assemblée de la francophonie de
l’Ontario.
Toute insinuation que vous auriez pu lire ou entendre récemment laissant
croire que l’AFO est impliquée dans une campagne qui porte atteinte aux
intérêts de la communauté MREF ou de l’Union provinciale des minorités
raciales et ethnoculturelles francophones est complètement fausse.
L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario ne s’est jamais ingérée dans la
gestion interne d’un organisme, ne le fait pas et n’a pas l’intention de le
faire à l’avenir.
Il est regrettable qu’un individu tente de ternir la réputation de notre
organisme et que vous, les destinataires de notre bulletin, devez en subir
ces répercussions.