Comment est-ce qu’on pourrait crée un cartier franco a TO?

Ok, donc je veux pitché une idée…je sais que c’est un rêve…mais ça serais cool si ont pouvais le faire…
Est-ce que sa ne serais pas cool si on créait un cartier francophone a Toronto? Ce que je veux dire est de vraiment localiser toutes les ressources francophones dans un lieu. Si on pouvait déménager tout, les médias, centre communautaire, bibliothèque, Collège Boréal a Toronto (pourquoi pas?) – le gros rêve d’une université F-O, caisse pop…etc. On pourrait donner l’endroit un certain « caractère » et si encourageait/obligeais les commerces dans cette spécificité d’offrir les services en français.

Mais vraiment je crois qu’un tel projet pourrait changer la dynamique de l’Ontario français. C’est juste mon petit rêve mais, j’aimerais bien si on pouvait crée une situation ou une masse critique de francophone se regrouperai dans la ville la plus populeuse du pays.

On ne pourrait forcer personnes de déménager dans ce cartier mais si on s’assurait que le logement était abordable et convenable, le monde s’installerait, particulièrement quand c’est le plus grand centre d’accueille.

Etant latin, les francos se ghettoisent peu hors-Québec. La majorité des francos dans les grands centres sont issus de situation majoritaire et ils sont bien motivés à maitriser l'anglais au plus vite, donc pas d'enclave!

Il y a eu quelques efforts de coopératives de logements à Vancouver au fil des années. La réalité reste que la flamme franco s'attiédit dans les banlieues pour pouvoir payer les factures du logement. La prochaine génération aboutira très souvent dans les programmes d'immersion devenant essentiellement des petits anglas avec les autres. Les enfants du programme cadre feront souvent beaucoup de commuting mais s'assimilent aussi sur l'allée-arrière ou durant leurs loisirs des alentours.

Je crois que la flamme franco doit d'abord se réallumer avant qu'on puisse considérer développer des ilots de masses critiques dans les grands centres. Le cartier franco risque sans quoi de se limiter à de belles vitrines et facades d'édifice. Il y a un effort intéressant de revitalisation de Maillardville, un ancien foyer franco du début du 20ième siècle (Coquitlam) à la veille des JO sous la bannière de "Flaunt your French". Eloquent!

gaulois a écrit:

Etant latin, les francos se ghettoisent peu hors-Québec. La majorité des francos dans les grands centres sont issus de situation majoritaire et ils sont bien motivés à maitriser l'anglais au plus vite, donc pas d'enclave!

Oui c’est claire que les franco ne se ghéttoise pas, et sa se comprends. Mais quand il y a des ressources et des institutions francophones – pourquoi pas les placer dans le même milieu. Il continuera de faire leurs travaille, et sa créera une espace publique pour le français.

La création d’un village français ne veut pas suggérer l’isolement de la masse anglophone.

Ça passerait premièrement par les caisses pop et les organismes, c'est sûr et certain.