Et si les vents soufflent encore
dans les vallées ou sur les mers
Et si les pluies trempent la terre
offrant au corps, un désir fort
Et si les fontaines abreuvent gentiment
juste ce qu’il faut, pas plus pas moins
Et si tout le monde en prend soin
offrant à l’esprit, un nouvel élan
Et si l’homme continue d’apprendre
dans les villes et les campagnes
Et si plus jamais le meilleur gagne
offrant à l’âme, un goût tendre
Alors, soyez en sûr, mes tristes amis,
Les mers, les pluies et les fontaines
coulent comme dans les veines.
Je suis encore parmi vous, ici.